La maison de gardien est barricadée, mais sa structure n'est pas en ruine. Ainsi le toit est refait. Mais certains volets manquent, ce qui fait de cette maison un piège à oiseaux. Là où manquent les fenêtres et volets, des grilles ont été installés au rez-de-chaussé. Les oiseaux y entrent, volent au premier étage et ne peuvent plus y sortir. Le sol du permier étage est parsemé de cadavres. Avec un peu d'acrobatie on peut rentrer dans la maison, c'est ainsi que ce constat a pu être fait. Mais je ne préciserai pas la voie d'accès ici... Au premier plan on reconnaît des restes d'un jardin jadis aménagé. Les feuilles mortes des yucca de prêtent d'ailleurs bien pour allumer le barbecue sur la terrasse. Avant guerre y vivait deux familles, avec des chevaux pour se déplacer. Après guerre plus de familles, mais 3 gardiens de phare voir même 4. toujours 2 gardiens en service. Chaque gardien faisant 20 jours au phare et 10 dans sa famille. Le bâtiment à l'époque était blanc et les volets gris clairs. En 1982 le dernier gardien de phare de metier a été remplacé par un pêcheur et sa famille jusqu'en 2004. Depuis le phare est sous télésurveillance depuis Marseille. (Information du fils de l'ancien gardien de 1952 à 1982). |